ÉDUCATION SOCIALE

        M ercredi passé dans une école primaire du côté de FOUMBOT (Ouest Cameroun), la population a assistée à un scénario digne d'un Télénovélas. Une maitresse du CM1 qui a envoyé un de ses élèves lui acheter des bonbons s'est vu empoisonner toute la classe, elle y compris.  Le petit garçon dont la maîtresse a envoyé est soupçonné d'avoir mis du poison dans les bonbons et la maîtresse sans le savoir les a donnée aux élèves qui trouvaient de bonnes réponses aux questions durant le cours. À lire aussi :   Un Directeur et deux professeurs d'une école privée se battent pour une collégienne de 16 Ans Certaines sources indiquent que l'enfant affirme qu'il voulait seulement t.u.e.r la maîtresse parce qu'elle l'envoie très souvent au tableau. Sur lui on aurai retrouvé le reste du poison. Le gamin affirme qu'il attendait qu'elle l'envoie acheter du pain comme d'habitude pour pouvoir y verser à l'intérieur.  La police de la localité a ouvert

  Ce commandement arrive en 4e position, c'est une sorte de charnière au sein du Décalogue. Les trois premières paroles concernent l’amour de Dieu. "Honore ton père et ta mère" ouvre sur des paroles concernant l’amour du prochain. La vie ne vient pas de nous, nous la recevons d'autrui : nos parents, des personnes qui nous ont aidées à grandir, Dieu. Le texte biblique nous invite à ne pas nous mettre à l'origine de tout et à ne pas renier ce qui nous précède. Pour un climat de paix et d'harmonie au sein d'une famille, rien de mieux que de respecter les mesures qui suivent à partir de ce jour des parents :  À lire aussi :  Depression Infantile: les 11 signes que les parents devraient connaitre 1) Aux Enfants :  〰️ N'attendez pas la perfection de vos parents. Des parents parfaits ça n'existe pas... Beaucoup font ce qu'ils peuvent... 〰️ Essayez de connaître l'histoire de leur vie. Ce qu'ils ont vécu est unique. Peut-être que vous les compre

Un titre qui fait la Une du quotidien des Congolais ces jours. C'est un désordre sexuel digne de ce nom qui a crée une crise de confiance dans la direction d’une école privée au quartier Foucks de la ville de Pointe-Noire au Congo. Le directeur et deux professeurs se sont battus pour une élève de 16 ans qui était leur maîtresse. Le propriétaire de cet établissement a licencié les trois pour leur comportement devant les élèves, peut-on lire sur le site de lecongo.fr  La prolifération des écoles privées au Congo et en Afrique a non seulement entraîné la baisse du niveau scolaire par la corruption, le favoritisme et bien d'autres, mais aussi et surtout une croissance de l’immoralité. Le mérite d’antan a fait place au clientélisme sexuel.  À lire aussi :  Quelques causes de la dépravation des mœurs et de la perversion chez nos enfants Le site révèle que dans une école privée du quartier Foucks, une collégienne de 16 ans en classe de troisième a cogné les têtes du directeur et deux

  Une famille qui vit à Afar, en Ethiopie. Le père soutient l'abandon des mutilations génitales féminines et a protégé ses filles contre cette pratique. PHOTO : Luca Zordan pour UNFPA Mettre fin aux mutilations génitales féminines d'ici à 2030   Les mutilations génitales féminines (MGF) recouvrent l'ensemble des interventions qui consistent à altérer ou à léser les organes génitaux de la femme pour des raisons non médicales. Elles sont considérées au niveau international comme étant une violation des droits humains des femmes et des filles, notamment de leurs droits à la santé, à la sécurité et à l'intégrité physique, ainsi que de leur droit à la vie lorsque ces pratiques ont des conséquences mortelles. Les filles qui subissent des mutilations génitales féminines font face à des complications à court terme, telles que des douleurs intenses, des saignements excessifs, des infections et des difficultés à uriner, ainsi qu'à des conséquences à plus long terme pour leur

Selon les estimations de l'OMS , entre 130 et 140 millions de femmes ont subi une forme quelconque de mutilation génitale. La Côte d'Ivoire est un des pays d'Afrique les plus touchés par la pratique de l'excision et on estime à 36% le nombre de femmes excisées dans le pays. Dire que la pratique persiste relève donc de l'euphémisme. Les mutilation génitales féminines, dont l'excision, recouvrent un ensemble de pratiques aboutissant à l'ablation partielle ou totale ou à l'altération des organes génitaux féminins externes pour des raisons non médicales. 3 millions de filles mutilées chaque année L'opération est généralement pratiquée sur les petites filles et parfois sur des femmes sur le point de se marier, enceintes de leur premier enfant ou qui viennent de donner naissance. Souvent pratiquée par des praticiens traditionnels comme les exciseuses et les accoucheuses, l'opération se fait sans anesthésie avec des ciseaux, des lames de rasoir ou des c