Journée internationale de tolérance zéro à l’égard des mutilations génitales féminines 6 février

 

Une photo d'une famille nombreuse
Une famille qui vit à Afar, en Ethiopie. Le père soutient l'abandon des mutilations génitales féminines et a protégé ses filles contre cette pratique.
PHOTO :Luca Zordan pour UNFPA

Mettre fin aux mutilations génitales féminines d'ici à 2030

 

Les mutilations génitales féminines (MGF) recouvrent l'ensemble des interventions qui consistent à altérer ou à léser les organes génitaux de la femme pour des raisons non médicales. Elles sont considérées au niveau international comme étant une violation des droits humains des femmes et des filles, notamment de leurs droits à la santé, à la sécurité et à l'intégrité physique, ainsi que de leur droit à la vie lorsque ces pratiques ont des conséquences mortelles.

Les filles qui subissent des mutilations génitales féminines font face à des complications à court terme, telles que des douleurs intenses, des saignements excessifs, des infections et des difficultés à uriner, ainsi qu'à des conséquences à plus long terme pour leur santé sexuelle et reproductive et leur santé mentale.

Bien que principalement concentrée dans 30 pays d'Afrique et du Moyen-Orient, la pratique des mutilations génitales féminines (MGF) est un problème universel. Elle persiste également dans certains pays d'Asie et d'Amérique latine, ainsi que parmi les populations immigrées vivant en Europe occidentale, en Amérique du Nord, en Australie et en Nouvelle-Zélande. 


Source: Site de l'OMS 

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